Cette île a un truc, quelque chose de spécial, d’unique. Son isolement, la folie de ses peuples passés, les mythes que l’on connaît avant même d’y mettre les pieds, tout nous conditionne à nous faire pousser un « wow, ah ouais, quand-même ! » en découvrant les Moaïs.
On ne peut que ressentir la force, le mana, de ces géants, et vouloir les respecter.
Je savais que le parc national qui couvre les trois quarts Est de l’île était interdit aux drones. Alors j’ai supposé qu’ils étaient autorisés dans le reste de l’île.
Mais j’ai néanmoins voulu ne pas déranger les visiteurs, plongés dans leur contemplation du coucher de soleil derrière les statues colossales. Je suis donc resté à une hauteur respectable lorsqu’il y avait des touristes.
J’ai appris depuis qu’un idiot avait crashé son drone dans un Moaï. Sans être un pro, je me dis qu’avec des rigolos pareils, on ne pourra bientôt plus voler nulle part…
Je n’ai pas trouvé de musique typique de l’île de Pâques. Celles que nous avons entendues dans la rue étaient soit polynésiennes soit chiliennes. Alors j’ai une fois encore tapé dans ma collection de chansons de Dead Can Dance…
Merci pour ces belles images de l’ile si chère à mon coeur..
Une belle histoire de famille sur 4 gėnėrations maintenant !!!
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Merci pour ces images spectaculaires. Le drone piloté de main de maître.
Je trouve qu’il se dégage un mystère et une poésie de ces géants. Un appel à la spiritualité.
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Oui, et je l’ai encore de plus ressenti dans la carrière où ils sont debout à moitié enterrés et abandonnes….
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