Après l’Inde, c’est toute une rééducation olfactive qu’il faut mettre en place : étalonner son nez, s’habituer à ne plus sentir les puissantes odeurs d’égouts et de curry, alternances de notes délicieuses et d’odeurs pestilentielles…
C’est d’autant plus un choc que le Japon sent très peu. Atterrir dans ce pays après six semaines très odorantes, c’est comme plonger dans une bulle inodore.